Le champion du monde est français ! Julian Alaphilippe qui s’était fait connaître en enflammant la grande boucle l’année dernière a remporté le championnat du monde 2020. 

La fausse mauvaise excuse

Comme le rappelle cet article de Libération, on est rarement mouillé sur un trajet vélotaf. Selon une étude de Météofrance, un vélotaffeur quotidien (60 minutes journalières) toulousain est statistiquement mouillé 33 fois par an et seulement 1.3 fois en octobre.

La pluie mauvaise excuse du vélo

Le bon équipement

Même si les chances sont faibles, mieux vaut prévenir que guérir et on vous conseille donc d’avoir dans vos sacoches la tenue adaptée à la météo malchanceuse. Gants imperméables, veste ou poncho, surpantalon et sur-chaussures permettent d’affronter presque tous les temps.

Et même avec style

Le cyclisme est le nouveau golf paraît il. Et les marques s’y mettent. Finies les pancartes publicitaires, il existe des tenues sobres et adaptées au vélo comme à la ville. 3 marques se distinguent sur ce segment : PedalED, Rapha et Café du cycliste. Leurs tenue vous protègeront du froid et vous accompagneront toute la journée. Pour les enfants les ponchos de Rainette valent le détour. Les stickers de Bookman feront de votre petite reine un félin.

PedalEd cyclisme stylé urbain

L’anticipation

A croire que le vélotaf peut devenir un sport, il est plus confortable de regarder la météo de la journée pour adapter ses horaires si cela est possible ou adapter sa tenue pour être au sec.

Le défi

Rien ne vaut le challenge pour se motiver. Défiez vos collègues pour savoir lequel a reçu le plus de gouttes en octobre, envoyez nous vos statistiques. Le plus mouillé recevra une tenue adaptée.  

 

 

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